conte des CM2.G
Voici un conte inventé par les cm2g. Nous sommes partis d’un
« conte-télégramme » de Bernard Friot et avons essayé de rédiger un
texte intéressant respectant la structure du conte.
Bonne lecture.
La classe de cm2g
Le conte-télégramme :
Voici sa réécriture :
S.O.S Princesse en détresse
Il était une fois une magnifique princesse qui vivait dans le
château de son père ; elle avait des cheveux blonds comme les blés, des
yeux bleu azur et un sourire était toujours présent sur son visage. Les jours
de fête, la princesse portait une robe de couleur nacre. Elle était fille
unique et son père l’aimait par-dessus tout. Cette princesse avait de
nombreuses qualités : elle savait jouer au football et aux échecs !
Elle possédait aussi un prestigieux diplôme en mathématiques.
Un jour, un
dragon monstrueux enleva la princesse pour la faire rôtir… C’était le même
dragon qui avait enlevé sa maman sept ans auparavant…Le roi était désespéré,
son épouse bien aimée avait disparu et maintenant, c’était sa fille ! Il
appela ses chevaliers les plus vaillants et leur demanda d’aller sauver la
princesse. Celui qui la sauverait pourrait l’épouser…
Après un combat
acharné, le premier chevalier mourut carbonisé ; les flammes que crachait
le dragon étaient redoutables. Le deuxième chevalier s’engagea courageusement
dans la bataille. Il combattit toute la nuit, mais au matin, il mourut
écrabouillé par un panda qui passait par là. Enfin vint le tour du dernier
chevalier que tout le monde redoutait. Par malheur, il tomba sur un pic à
brochettes du dragon et celui-ci l’avala tout cru.
Le roi était fou
de rage. Il fit paraître une annonce dans le journal pour demander à tous ses
sujets de trouver une idée pour sauver la princesse. Le facteur du palais, qui
était secrètement amoureux de la princesse, eut une idée ; il envoya un
gâteau piégé au dragon. Celui-ci, qui était très gourmand, l’avala en une bouchée.
Il enfla, enfla, enfla puis explosa. Une fée se matérialisa alors aux côtés de
la princesse et, d’un coup de baguette magique, fit apparaître un Pégase.
Celui-ci ramena la princesse saine et sauve au château.
Le roi sauta de joie et se jeta dans les bras de
sa fille. Il organisa une grande fête et, à cette occasion, le facteur demanda
la main de la princesse qui accepta de bonne grâce. Ils vécurent heureux et
eurent de nombreux enfants. Voulant admirer son royaume, la princesse prenait
souvent le train et profitait de sa réduction pour famille nombreuse à la S.N .C.F.
Article mis en page par Romane MILLET , Mado BEELE , Sixtine THELU
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